Mark Alizart Informatique céleste livre pdf

Informatique céleste

Sciences humaines, Mark Alizart

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Informatique céleste par Mark Alizart ont été vendues pour EUR 14,99 chaque exemplaire. Le livre publié par Presses Universitaires de France. Il contient 202 pages et classé dans le genre genre. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 4.7 des lecteurs 701. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.

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Mark Alizart Informatique céleste livre pdf -

Quand IBM a cherché à introduire le mot « computer » en France, dans les années 1950, le philologue Jacques Perret a eu l’idée de remettre au goût du jour un vieux mot latin, « ordinateur », qui désignait au Moyen Âge une qualité que les Pères de l’Église attribuent à Dieu – Deus Ordinator – signifiant « Dieu ordonnateur ». Ce faisant, il a aussi bien cerné la compétence technique de ces nouvelles machines que leur vocation messianique. L’ordinateur ne peut pas être réduit à un simple outil. L’informatique irrigue la vie, à laquelle elle fournit un programme. Elle donne forme à la matière, à son niveau le plus élémentaire. Elle sculpte nos pensées et notre conscience. Aussi bien emporte-t-elle une nouvelle ontologie, une nouvelle politique et même une nouvelle spiritualité. En elle s’accomplit la promesse d’une réconciliation entre les mots et les choses, les vivants et les morts, les humains et les non-humains. Martin Heidegger affirmait à la fin de sa vie que seul un dieu pouvait désormais nous sauver. Mais c’est l’informatique qui sauvera le monde.

Rang parmi les ventes Amazon: #64940 dans eBooksPublié le: 2017-01-25Sorti le: 2017-01-25Format: Ebook KindlePrésentation de l'éditeurQuand IBM a cherché à introduire le mot « computer » en France, dans les années 1950, le philologue Jacques Perret a eu l’idée de remettre au goût du jour un vieux mot latin, « ordinateur », qui désignait au Moyen Âge une qualité que les Pères de l’Église attribuent à Dieu – Deus Ordinator – signifiant « Dieu ordonnateur ». Ce faisant, il a aussi bien cerné la compétence technique de ces nouvelles machines que leur vocation messianique. L’ordinateur ne peut pas être réduit à un simple outil. L’informatique irrigue la vie, à laquelle elle fournit un programme. Elle donne forme à la matière, à son niveau le plus élémentaire. Elle sculpte nos pensées et notre conscience. Aussi bien emporte-t-elle une nouvelle ontologie, une nouvelle politique et même une nouvelle spiritualité. En elle s’accomplit la promesse d’une réconciliation entre les mots et les choses, les vivants et les morts, les humains et les non-humains. Martin Heidegger affirmait à la fin de sa vie que seul un dieu pouvait désormais nous sauver. Mais c’est l’informatique qui sauvera le monde.Présentation de l'éditeurQuand IBM a cherché à introduire le mot « computer » en France, dans les années 1950, le philologue Jacques Perret a eu l’idée de remettre au goût du jour un vieux mot latin, « ordinateur », qui désignait au Moyen Âge une qualité que les Pères de l’Église attribuent à Dieu – Deus Ordinator – signifiant « Dieu ordonnateur ». Ce faisant, il a aussi bien cerné la compétence technique de ces nouvelles machines que leur vocation messianique. L’ordinateur ne peut pas être réduit à un simple outil. L’informatique irrigue la vie, à laquelle elle fournit un programme. Elle donne forme à la matière, à son niveau le plus élémentaire. Elle sculpte nos pensées et notre conscience. Aussi bien emporte-t-elle une nouvelle ontologie, une nouvelle politique et même une nouvelle spiritualité. En elle s’accomplit la promesse d’une réconciliation entre les mots et les choses, les vivants et les morts, les humains et les non-humains. Martin Heidegger affirmait à la fin de sa vie que seul un dieu pouvait désormais nous sauver. Mais c’est l’informatique qui sauvera le monde.Biographie de l'auteurMark Alizart est philosophe. Il est l'auteur de Pop Théologie (Puf, 2015). Le Monde ou GQ l'ont compté parmi les penseurs les plus novateurs et originaux

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1 internautes sur 4 ont trouvé ce commentaire utile.Rien de neuf sous le soleil des idolâtres de la technosphèrePar IciMark Alizart répète avec une certaine exaltation les thèses standard du réductionnisme. L'idée de faire du cool avec du difficile ne marche plus. Alors il se contente, en petit prêtre des campagnes, de répéter l'idéologie dominante.Mais nous ne sommes pas encore tout à fait prêts.Nous sommes toujours, et encore, assez convaincus que l'implication de plus en plus systématique de l'informatique dans des processus d’expansion impériale ne permet plus de se débarrasser d’un certain nombre de critiques portant sur l’existence des liens ontologiques entre l’exercice des sciences et celui de la domination violente.Une méfiance ontologique se met en place dans des secteurs de plus en plus importants de la population. Cette mise en cause radicale est clairement perceptible dans la crise du nucléaire et se manifeste de façon presque identique dans l’affaire des OGM. La mise en cause des développements contemporains des sciences modernes et de leurs alliances politiques, économiques et financières amène bon nombre d’épistémologues et de chercheurs à relire avec attention la vulgate (ou la légende dorée) de l’histoire et de philosophie des sciences et ne se contente pas de répéter se que chacun est censé savoir depuis des plombs : le positivisme est un horizon indépassable en guerre contre toute altérité.Réduire le vivant à l’inerte comme le propose une bonne partie de la biologie moderne suppose un certain acharnement militant, celui d'une guerre néo-coloniale (colonisation du vivant) dont l'informatique représente à la fois le modèle et l’outil. Maisil n'y aura pas de continuation de cette guerre par d'autres moyens. Il ne s'agit pas là de mettre en cause de braves régions de l'être et de la volonté : "la liberté ou la mort", mais littéralement de la mise en cause de l'être lui-même : "le vivant ou le néant".Monsieur Alizart, en préférant la spéculation quelconque à l'enquête sérieuse, ne rend pas service à la philosophie. Ainsi restitue-t-il la propagande normal des partisans de cette grande secte qu’on appelle la Silicon Valley… qui accessoirement devrait vous permettre de lire ces quelques lignes (contradiction, qu'en tant qu'adepte de la prolifération virale, celui-ci ne devrait pas rencontrer trop de difficulté à résoudre).

de Mark Alizart

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